Semer des graines

Semer des graines, c’est vibrer à l’intérieur de moi ce que j’ai envie de semer, mais aussi décider de l’incarner en conscience

Semer des graines c’est faire un sourire à quelqu’un et lui transmettre la joie

Semer des graines c’est transmettre des messages positifs et remplis d’espoir pour mettre de la lumière dans cette l’osbcurité

Semer des graines c’est pouvoir toucher des gens qui à leur tour vont toucher d’autres gens et ainsi de suite (j’ai reçu un message aujourd’hui dans ce sens qui m’a beaucoup touché)

Semer des graines c’est faire les choses avec son coeur, sans attendre un quelconque résultat, sans désirer que la graine devienne à tout prix un arbre gigantesque, et laisser l’autre faire le choix de prendre cette graine et de la planter tout de suite ou d’attendre un peu, de l’arroser ou pas, de prendre le temps nécessaire de la voir pousser, émerger.

Semer des graines c’est avoir foi en la vie, et savoir que parmi toutes ces graines, beaucoup vont pousser, même si le résultat n’est pas toujours visible

Il y a beaucoup de choses qui peuvent me faire peur, me mettre en colère, me rendre triste, et c’est ok, je ne nie pas ces choses là.

Mais je choisis de me focaliser sur le positif, sur ce que j’ai envie de vibrer, de rayonner, sur ce que j’ai envie de m’apporter et d’apporter au monde.

Je sais que je ne vais pas toucher tout le monde, mais je sais qu’en semant des graines, je vais peut-être toucher une personne, qui en touche une à son tour et ainsi de suite, alors l’impact de ces graines de bonheur pourront aller aussi vite qu’un virus de la peur, et peut-être même le remplacer…

Et si chacun de nous prenait soin de ces graines que nous semons pour nous-même et pour les autres, quel pourrait être notre monde de demain?

Quelle est la contribution que nous voulons avoir dans ce monde?

Est-ce que nous voulons contribuer à la peur, la délation, le mensonge, la honte, la perversion?

Ou est-ce que nous voulons contribuer à l’espoir, la joie, l’amour, la vérité, l’entraide, l’unité, l’humanité?