Dans ma vie de tous les jours, il y a des périodes où j’ai des « hauts », avec une conscience déployée, une intuition plus fine, la joie qui explose dans mon coeur, mon coeur déborde d’amour.
Et puis, il y a des jours où c’est plus difficile, le soleil a fait place à la pluie, je n’entend plus la voix de mon âme, mon mental prend trop de place, mon énergie est au plus bas…
Et parfois c’est dans une même journée, que je peux alterner de tels états….
Mais pourquoi ne puis-je pas être aussi « régulière », équilibrée dans mon être?
C’est en lisant « conversation avec dieu Tome 3 » de Neale Donald Walsch, que j’ai mis en lumière l’importance de ces bas.
Il en a déjà parlé dans ses 2 premiers tomes mais cela ne m’avait pas autant touché (il faut savoir qu’on peut nous dire une information à plusieurs reprises, à des moments différents de notre vie, nous « l’entendrons » différement en fonction de notre niveau de conscience qui évolue)
Ce qui est exprimé dans ce livre et qui fait sens en moi, c’est quelque chose de simple dont nous n’avons pas forcément conscience du fait que ce soit « naturel ».
Pour faire l’expérience du son, du bruit, il faut impérativement que le silence existe.
Si je ne connais que le son, comment avoir conscience que c’est du son sans connaître le silence?
Si je ne connais que le plein, comment en avoir conscience si je ne connais pas le vide?
Pour les hauts et les bas que j’expérimente dans ma vie c’est exactement pareil!
Comment pourrais-je avoir conscience que je suis dans le « haut » si le bas n’existe pas?
Tout comme j’ai besoin de l’ombre pour faire l’expérience de la lumière, j’ai besoin de savoir que le bas existe pour pouvoir expérimenter le haut.
Alors je décide d’accueillir, d’accepter sans jugement ces périodes parfois difficiles parce qu’elles me permettent de prendre conscience de mes périodes d’épiphanie, de joie et de félicité dans ma vie.
Psychothérapie Humaniste Pégomas ou Visio 